Message d'avertissement

The subscription service is currently unavailable. Please try again later.×

Notre mission est d’amener la population canadienne à considérer les poissons et toutes les espèces aquatiques comme un trésor national digne d’être préservé pour les générations futures.

Mardi, janvier 7, 2014 - 00:00

Les scientifiques parlent « d’autodafé ». En effet, ce ne sont pas moins sept des neuf bibliothèques de réputation mondiale du ministère des Pêches et Océans (MPO) qui ont fermé leurs portes à l’automne 2013, en principe pour numériser les documents et réduire les coûts. Toutefois, selon certaines sources  auprès du Tyee indépendant, en décembre dernier, une fraction seulement de la collection de quelque 600 000 volumes a été numérisée. En outre, un document secret du gouvernement fédéral révèle que la modique somme de 443 000 $ sera économisée. Ce massacre s’est produit à vitesse grand V, sans tenue de registres ni tentatives pour sauver les documents et les préserver dans des universités. À en croire les scientifiques, des collections fort précieuses ont été jetées dans des bennes à rebuts ou brulées, ou encore ont pris la destination de décharges.

Vendredi, décembre 13, 2013 - 00:00

Après avoir lu les dizaines d’articles parus dans les divers médias en réaction à ma rubrique sur le Rapport de la Commission Cohen cet automne, vous savez que Pêches et Océans Canada n’a pas répondu à ce rapport publié le 31 octobre 2012.

Ce que vous ne savez peut-être pas, par contre, c’est que le site Cohen a été entièrement fermé comme si cette enquête – qui a coûté quelque 26,4 millions de dollars – n’avait jamais eu lieu ! Certains d’entre nous qui suivent le dossier du saumon au niveau politique ont sauvegardé des documents importants afin que la Commission ne disparaisse tout simplement pas et que cette disparition n’emporte pas la question du saumon sauvage en C.-B.

Renseignez-vous sur ce qui peut être fait et assurez-vous que le gouvernement réponde aux recommandations de la Commission Cohen.

Jeudi, décembre 12, 2013 - 00:00

Au moins un aspect des changements climatiques fait que les poissons sont nerveux.

L’acidification des océans – une des conséquences de l’augmentation du niveau du gaz carbonique dans l’atmosphère – rend nerveux les sébastes, selon un document récemment publié par un neuroscientifique de la MacEwan University d’Edmonton.

« Cette nervosité est à tout point semblable à celle que ressente les humains à un niveau de base, » a déclaré Trevor Hamilton. « Les poissons craignent en effet que toute sorte de stimulus leur soit fatal. »

« Il pourrait même y avoir des répercussions néfastes sur les pêches. Plus il y a de poissons qui se cachent, et moins il y en aura dans les filets. »

Pour Trevor Hamilton, sa prochaine étape consistera à conclure si les poissons sont toujours nerveux lorsqu’ils sont exposés à une hausse moins prononcée des niveaux d’acidité.

Pages